20 comics influencés par la culture BDSM !

Scarlet et Equus

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(image © DC Comics)

The Establishment est la réponse britannique à The Authority. L’équipe devient publique lorsque ses membres repoussent une invasion daemonite. Ses membres sont inspirés des héros de séries anglaises. Le leader, Drake, est une copie voilée du personnage de Patrick McGoohan de Destination Danger et du Prisonnier. Le trio qui forme The Golden, des êtres doués de pouvoirs surhumains, partagent l’origine des Champions. Mr Pharmacist a le côté décalé du Docteur de la série Doctor Who. Mais ceux qui nous intéressent ici sont Scarlet et Equus, un couple inspiré d’Emma Peel et M. Steed dans Chapeau melon et bottes de cuir. La série originelle reprend beaucoup de l’imagerie fétichiste, notamment l’épisode « Le Club de l’enfer » dont nous reparlerons plus bas. Le comics The Establishment amplifie cet aspect des personnages. En effet, entre 2 missions, on découvre que les tourtereaux s’adonnent au BDSM. Scarlet passe ainsi un tendre moment avec un Equus bâillonné et menotté en croix sur leur lit.

 

 

Nightlash

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(image © DC Comics)

Haywire est un comics DC assez peu connu. Le personnage principal est un schizophrène, qui alterne entre 3 personnalités : Steve Majorsky, qui vit dans un appartement délabré, Alex Kingman, un homme d’affaire, et Haywire, une créature destructrice en armure. Dans le 3e numéro de sa série, Haywire entrave les plans d’un criminel et rencontre sa garde du corps, Nightlash. Vêtue comme une dominatrice, Nightlash est également armée d’un fouet capable de trancher le métal et de solides chaînes assez résistantes pour bloquer les pales d’un hélicoptère. Lorsqu’elle s’attaque à Haywire, elle parvient rapidement à l’enchaîner et s’adonne au « pony play ». En effet, elle le chevauche comme un cheval humain, l’éperonnant au passage. Haywire finit par briser ses chaînes et la désarçonne, mais Nightlash parvient à s’enfuir. Dans le même numéro, décidément sous le signe du BDSM, la personnalité d’Alex a maille à partir avec une amante qui trouve ses fantasmes trop ternes et vanilla. Elle lui demande de lui lier les poignets, et le quitte lorsqu’il hésite. Nightlash revient quelques numéros plus tard, avec une attitude plus misandre qu’auparavant.

 

 

Les Beef Boys

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(image © DC Comics)

Dans la série WildCATS version 3.0, sous l’égide de l’androïde Jack Marlowe, les WildCATS se réinventent en entreprise capitaliste. Cloué sur une chaise roulante, le mercenaire Grifter se sent perdu dans ce nouvel environnement. Se cherchant un successeur, il envoie des hommes de main tabasser le comptable de Jack Marlowe. Ces hommes de mains sont les Beef Boys. En parallèle de leur activité de mercenaires, Glenn et Cedric travaillent dans un donjon SM. Glenn, le dominant, garde en permanence un masque en cuir sur une tête ornée de piercings. Contrastant une apparence très bourrine, Glenn fait preuve d’une rare éloquence. Cedric est le soumis du duo, toujours harnaché et un ball-gag à la bouche. Ponctuellement engagés par Grifter, les Beef Boys font également face à une version brutale de la Justice League dans la série DC/WS Dreamwar. Durant l’affrontement, une incarnation de Hawkman va briser le crâne de Glenn avec sa masse.

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La suite ? Tout de suite !




A propos JB 198 Articles
Lecteur de comics depuis 30 ans, pinailleur Marvel, râleur DC et nostalgique des séries Valiant des années 90.