Umbrella Academy : 11 différences entre le comics et la série Netflix

Howard Jenkins

(image © Netflix, Dark Horse Comics)

C’est simple, Howard Jenkins, l’amoureux de numéro 7, n’existe pas dans le comics. Création de la série télé, il est celui qui entraine Vanya vers une mélodie symphonique apocalyptique. Dans le comics Vanya est recruté par une mystérieuse secte, l’orchestre Verdammten, pour un résultat quasi identique. Avantage : la série télé. Howard Jenkins est bon personnage. Bien écrit les motivations se dévoilent peu à peu et sont nettement plus crédibles que celle de l’orchestre Verdammten, bien que dans l’ambiance déjantée du comics.

 

 

Numéro 6 (horreur)

(image © Netflix, Dark Horse Comics)

Dans les 2 supports, numéro 6 présente des tentacules quand il utilise ses pouvoirs et sa mort semble liée à une mission qui aurait mal tourné. Son ombre plane sur ses frères et sœurs qui s’en veulent tous à un moment ou à une autre. Mais dans le comics cela s’arrête là. On ne voit numéro 6 que quand le passé des personnages est représenté. Dans la série télé, numéro 6 commence à apparaitre à numéro 4 sous forme de fantôme, puis devient finalement un personnage récurrent lors des derniers épisodes, pouvant intervenir physiquement dans le monde réel. Avantage : la série télé. Très bonne idée que de faire intervenir numéro 6 notamment dans sa relation avec numéro 4 dont les pouvoirs sont ainsi mis en avant. Dans le comics il n’est que chimère et peu développé.

 

 

La commission

(image © Netflix, Dark Horse Comics)

Dans le comics, numéro 5 est recruté par Temps Aeternalis. Changement de nom dans la série télé puisque Temps Aeternalis s’efface au profit de l’organisation, « The Commission » en VO. Si les objectifs semblent les mêmes, les 2 jouant avec le temps, la différence se trouve dans les leader mis en avant. Dans la série télé La gardienne (« the Handler » en VO) est une humaine, et elle n’existe pas dans le comics. Dans la bande dessinée, la 2e série exactement, le lecteur découvre Carmichael un humain avec un bocal et un poisson dedans, un Shubukin pour être précis, à la place de sa tête. Avantage : le comics. Malgré la très bonne interprétation de Kate Walsh, visuellement, le personnage de Carmichael est plus rock’n roll, plus fun… plus tout !

 

La suite ? Tout de suite !