8. Flash, enfin
Le personnage de Flash est plus intéressant dans la Snyder’s Cut que dans la Justice League de 2017. Joss Whedon et la Warner avaient réduit le héros à un élément comique dans le groupe. Ici, le Flash d’Ezra Miller gagne en consistance et en background personnel (si on met de côté la scène de la saucisse). Il est un personnage pivot sans lequel la Justice League n’aurait pas pu vaincre. On le voit notamment quand Flash parvient à ressusciter Superman, et surtout à la fin du film, lorsqu’il inverse le cours du temps, donnant à ses équipiers une seconde chance de vaincre.
7. Un costume noir sorti d’on ne sait où
Dans la Snyder’s Cut, Clark Kent fraîchement ressuscité décide de rejoindre la Justice League. Dès lors, il arbore un costume noir, en référence à celui qu’il porte dans le comics après sa défaite face à Doomsday. Seulement voilà : dans la Snyder’s Cut, ce changement de costume fait très fan service totalement superficiel puisqu’on ne nous donne pas de réelles explications. On aurait aimé mieux comprendre pourquoi Clark Kent décide de changer la couleur de son costume.
6. Steppenwolf : une brute enfin plus subtile
Dans les 2 versions de Justice League, Steppenwolf est l’ennemi principal des héros et le sbire de Darkseid. Même si son rôle est à chaque fois le même, la manière de l’utiliser est un peu différente. Disons que ses motivations sont plus nuancées. Dans le film de 2017, Steppenwolf était un grand vilain classique et, avouons-le, assez fade. Dans la Snyder’s Cut, il dispose d’un plus grand nombre de scènes qui modifient légèrement le personnage et apportent un peu de subtilité. On comprend maintenant que Steppenwolf cherche le pardon de son maître Darkseid.
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