Wonder Woman : les 10 transformations les plus DINGUES de l’Amazone de DC Comics !

Gare aux gorilles

Dans les années 90, DC comics et Marvel Comics utilisaient les numéros annuels pour des crossovers entre séries. En 1999, DC Comics publient ainsi l’histoire JLApes: Gorilla Warfare. Après l’assassinat du Roi Solovar, Gorilla City prépare des représailles, et invente une machine capable de transformer l’humanité en gorilles. Plusieurs membres de la JLA sont les 1^res victimes. Superman, Aquaman, le Limier Martien ou encore Wonder Woman se transforment en primate. En plus de leur corps, leur personnalité est affecté. Wonder Woman est ainsi la 1^re à déclarer la guerre au monde humain ! J’onn  J’onzz, habitué des métamorphoses, ramène ses collègues à sa raison. Chacun des annuals voit les héros tenter de trouver un remède à leur transformation. Pourtant, dans Wonder Woman Annual n°8, les auteurs trichent et ne montre Diana sous sa forme simiesque que dans quelques pages. L’histoire reste surtout dans les mémoires pour les couvertures d’Art Adams.

Une amazone aux pieds d’argile

Les origines de Wonder Woman ont souvent changé. Après Crisis on infinite Earths, Diana a été créée à partir d’une figure d’argile à laquelle les dieux ont insufflé la vie. Dès lors, Wonder Woman régresse à plusieurs reprises sous sa forme originelle. Dans War of the Gods, Circé lui redonne sa forme d’argile. Le one-shot JLA Primeval montre un sorcier faire régresser la Ligue de Justice. Les humains deviennent des hommes des cavernes, Aquaman un homme poisson, le limier martien une amibe et Wonder Woman une statue d’argile qui se brise rapidement. Cependant, cela lui permet de prendre une forme astrale et de réunir autour d’elle ses équipiers. La version la plus sombre de cette transformation prend place dans la maxi-série Justice. Son ennemie Cheetah enduit ses griffes d’un poison qui brûle le corps de Wonder Woman à petit feu. A la fin de la série, la forme argileuse de Wonder Woman est carbonisée.

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