Aujourd’hui, on touche au gratin de l’anti-héros bien bourrin de chez DC Comics : Lobo. Ce gars-là, c’est un chasseur de primes intergalactique venu tout droit de Czarnia, une planète qui n’existe plus… à cause de lui. Et oui, Lobo, c’est ce genre de mec : il n’a peur de rien, il bosse pour le plus offrant, peu importe la mission ou les ennuis qu’il pourrait se ramasser en chemin. Une sorte de Deadpool de l’espace, en encore plus trash.
Depuis sa première apparition dans les comics, Lobo a eu l’occasion de faire des trucs aussi cool que détestables. Le gars peut sauver une planète le lundi et détruire une civilisation entière le mardi, tranquille. Bref, il est aussi imprévisible qu’une grenade dégoupillée. Mais alors, qu’a-t-il fait de si héroïque ? Et qu’a-t-il accompli de vraiment atroce ? Spoiler : il y a du lourd. Allez, c’est parti pour cinq fois où Lobo a été un bon héros et cinq fois où il a été un méchant vraiment détestable.
Lobo a assassiné le Père Noël
Oui, oui, c’est bien arrivé dans les comics. Dans The Lobo Paramilitary Christmas Special, le Lapin de Pâques en personne a embauché Lobo pour éliminer Kris Kringle, alias le Père Noël. Pourquoi ? Pour éliminer la concurrence et devenir le boss incontesté des mascottes des fêtes. Parce qu’apparemment, même les fêtes ont leurs guerres de territoire.
Et Lobo, fidèle à lui-même, accepte le boulot sans réfléchir. Pourquoi ? Parce que le fric, c’est le fric, et la seule couleur qui l’intéresse, c’est le vert. Une fois la mission lancée, Lobo traque le bon vieux Père Noël, et le massacre à mains nues. Pas juste une raclée, non : il le bat à mort avec une force suffisante pour mettre Superman au tapis. Joyeux Noël, les enfants !
Quand Lobo décide de rayer son espèce de la carte (parce que pourquoi pas)
Oui, Lobo a littéralement éradiqué toute son espèce. Tranquille, comme si de rien n’était. Ce mec n’a d’allégeance envers personne, aucun lieu, ni même envers sa propre tribu. Né sur Czarnia, Lobo appartenait à une race aux pouvoirs régénératifs impressionnants, qui ne pouvait être tuée que par l’un des siens. Plutôt pratique… sauf si le dernier de la bande est un sociopathe interstellaire avec un goût pour le carnage.
Forcément, Lobo ne pouvait pas laisser une telle « menace » peser sur lui. Alors, il a pris une décision radicale : exterminer tous les Czarniens. Oui, tous. Et, bien sûr, ce cher Lobo s’est auto-attribué une note parfaite : un bon gros A+. Parce que dans son cerveau, il n’y a que lui qui mérite une standing ovation. Voilà, encore une preuve que Lobo ne fait rien comme les autres. Si tu crois pouvoir prévoir ses mouvements, détrompe-toi. Ce mec n’a aucune limite, et c’est pour ça qu’on l’aime (ou pas).
Un casse-croûte apocalyptique
Si vous pensiez que Lobo avait déjà atteint le sommet de la folie, détrompez-vous. Dans The Authority/Lobo: Spring Break Massacre, il a littéralement dévoré une ville entière. Oui, une ville ! Pas une petite bourgade, mais bien une métropole remplie de béton, d’acier, et de pauvres âmes qui n’ont rien vu venir. Un exploit complètement dingue, même pour les standards de ce Czarnien déjanté.
Et attention, ce n’est pas juste une image : Lobo a réduit des trillions de tonnes de bâtiments, de pierres et de vies en une boule de la taille d’un bonbon. Une petite bouchée pour lui, un énorme désastre pour le reste de l’univers. Hop, tout est passé dans son gosier comme un snack de l’apocalypse. Franchement, si « destructeur de mondes » n’était pas déjà sur son CV, c’est le moment de l’ajouter [ENVIE DE LIRE LA SUITE ? RDV PAGE SUIVANTE].