Lobo a rendu sa mère folle

Lobo n’a jamais été ce qu’on pourrait appeler un enfant paisible. Dès sa naissance, le ton est donné : il mord carrément les doigts de l’infirmière qui l’accouche. Charmant, non ? Et ce n’est que le début. En grandissant, il développe des tendances encore plus étranges et violentes, comme si le chaos faisait partie de son ADN.
Les « mauvaises ondes » émanant de Lobo commencent rapidement à affecter son entourage. Sa propre mère ? Elle perd complètement la tête après avoir juste posé les yeux sur lui. Une tragédie ? Pas pour Lobo, qui n’en a strictement rien à faire. Après tout, pour lui, sentiments et empathie, c’est pour les faibles.
Un pari qui tourne mal (et beaucoup d’alcool)

Imaginez la scène : Lobo débarque dans un bar intergalactique (un classique pour lui), et il entend deux extraterrestres discuter du combat à venir entre Superman et Draaga. Et bien sûr, comme on s’en doute, les gars parient sur qui va gagner. Pas besoin d’en dire plus pour que Lobo s’invite dans la conversation. Tranquille, il balance qu’il pourrait éclater Superman les doigts dans le nez. Oui, du pur Lobo.
Ni une ni deux, les aliens voient une occasion en or. Ils font boire Lobo jusqu’à ce qu’il soit complètement torché, puis le poussent à prouver ses paroles. Et voilà notre Czarnien qui met le cap sur la Forteresse de Solitude pour en découdre avec l’Homme d’Acier. Mais qui sortira vainqueur de ce duel de titans ? Eh bien… Superman, en vrai roi de la stratégie, feint carrément sa propre mort pour esquiver ce carnage. Parce que même Superman sait qu’on ne bat pas Lobo à la régulière, surtout quand il est bourré.
Lobo rejoint la Ligue de Justice

Alors, imaginez la scène : dans l’épisode Deuil du dessin animé Justice League, Lobo débarque et… rejoint carrément la Ligue de Justice. Oui, vous avez bien lu. Mais attention, pas question pour lui de jouer les seconds rôles. Non, monsieur décide qu’il est le nouveau leader de l’équipe. Parce que Lobo, c’est Lobo : tout pour lui, rien pour les autres. Malgré son ego surdimensionné, il réussit à endosser le rôle du « gentil », enfin… à sa sauce.
L’histoire commence avec une bande de super-vilains bien vénères qui attaquent Metropolis pour se venger de Superman. Et là, c’est le chaos : baston générale, explosion partout, et on croit même que l’Homme d’Acier y est passé. Alors que la Justice League galère à repousser les méchants, qui c’est qui débarque en mode badass ? Lobo, évidemment. Le mec traverse littéralement un mur de flammes (parce que marcher par la porte, c’est trop mainstream), et il envoie valser les vilains en deux temps trois mouvements. Une entrée en scène comme on les aime : brutale, arrogante, et totalement dans le style Lobo [ENVIE DE LIRE LA SUITE ? RDV PAGE SUIVANTE].