Le Clark Kent de Terre-2 ? Un vrai dur à cuire.

Si Kal-L de Terre-2 vous rappelle le Superman des débuts, c’est normal : c’est littéralement sa version du multivers, directement tirée du Action Comics #1. Ici, pas de menaces cosmiques dès le départ, il commence en mode justicier urbain, tabassant les criminels et nettoyant les rues comme un vrai dur. Pendant ce temps, Clark Kent joue au journaliste discret au Daily Planet, entendant partout que ce super-vigilante fait flipper tout le monde… mais ça ne l’empêche pas de continuer son boulot de héros, avec ou sans costume.
Et là, twist magique : à cause d’un sort, Clark oublie carrément qu’il est Superman. Problème ? Il n’a pas oublié comment casser des mâchoires. Même sans sa super-mémoire, il continue à cogner du criminel comme s’il n’avait jamais porté de cape. Il gagne une sacrée réputation, un genre de Bruce Wayne sans le fric ni la panoplie. Et il ne s’arrête que lorsqu’il tombe au combat dans Infinite Crisis. Un Clark Kent qui défonce des voyous en costard-cravate ? On valide.
Le Superman de Rebirth : papa badass, super-héros à l’ancienne

Après le grand ménage cosmique de The New 52, Rebirth a tenté de recoller les morceaux et de ramener Superman à ce qu’il était censé être. Parce que soyons honnêtes : entre les romances chamboulées et les timelines en vrac, c’était le foutoir. Heureusement, le Superman Post-Crisis et sa petite famille avaient trouvé refuge pendant le chaos de Flashpoint, Convergence et compagnie. Clark, toujours aussi classe, savait qu’il n’était pas dans sa ligne temporelle d’origine et a préféré laisser l’autre Clark porter le S sur la poitrine. Un vrai gentleman, ce gars-là.
Puis, quand tout s’est calmé, Rebirth a remis Superman sur le trône. Plus de doublon, plus de timeline foireuse : il est LE Superman, point final. Et cette fois, il n’est pas seul. Sa famille devient une pièce centrale de son héritage et lui redonne une dimension plus humaine. Bon, il a quand même dû affronter le Dark Multiverse et d’autres joyeusetés dès son retour (parce que sinon ce ne serait pas marrant), mais il reste avant tout ce qu’il a toujours été : un mari, un père, un héros. Bref, le Clark Kent qu’on aime. [CLIQUEZ SUR LA PAGE SUIVANTE]