Cet article consacré à Justice League (2018) n°53 fait partie de la chronologie DC Comics de l’année 2020.
Titre VO : Doom Metal, part one
Titre VF : Doom Metal, chapitre un
Parution VO : 15 septembre 2020 (cover date : novembre 2020)
Crédits :
Joshua Williamson (Scénario)
Xermanico (Dessin)
Xermanico (Encrage)
Romulo Fajardo Jr (Couleurs)
Parution VF : album Batman Death Metal n°3 paru chez Urban Comics
Première apparition : Omega Knight
Résumé et notes de lecture :
Nightwing et Hawkgirl à la recherche du Trône de Perpetua
Death Metal, suite. Dans le monde du Metalvers, Nightwing, Comète, son cheval robot (offert par Wonder Woman après ) et Hawkgirl sont en mission : ils cherchent le trône de Perpetua pour libérer la Légion Fatale dans l’espoir d’en drainer la puissance. Sur leur route, dans l’ambiance crépusculaire des Marais du Massacre, ils viennent en aide à un Chimp démoralisé. Celui-ci est en mauvaise posture dans une embuscade contre des versions perverties de Creeper et de Salomon Grundi.
Où on retrouve Lex Luthor
À contre cœur, Chimp accepte de rejoindre le trio. Il guide Nightwing, Comète et Hawkgirl jusqu’aux ruines du Hall de Justice. En effet, Chimp sait que c’est ici qu’un Lex Luthor défiguré a trouvé refuge quand Perpetua lui a préféré le Batman qui rit.
Une mission plus compliquée que prévue !
Lex Luthor révèle au quatuor de héros que le Trône de Perpetua se trouve dans la Baie du Soufre. Mais leur mission s’annonce périlleuse : en effet, leur ami le Limier Martien est déjà parti à l’assaut du Trône, mais a rencontré 2 adversaires très puissants : le Mindhunter, hybride de Batman et du Limier, et surtout Omega Knight, un Titan Omega assemblé par Perpetua !
Impressions
Avec ce Justice League (2018) n°53, Joshua Williamson trousse un récit efficace. Certes, tout ça se déroule un peu en marge du tronçon principal, mais agréable. Le fait que Nightwing et Hawkgirl aient été longtemps éloignés des évènements de Death Metal (ils étaient emprisonnés à New Apokolips) fait qu’ils ont un regard un peu neuf sur la situation, contrairement à Chimp, particulièrement blasé. « Je ne suis pas la Ligue de Justice ! », explique Nightwing, mais on sent bien que « Doom Metal » va nous permettre de suivre une Ligue de Justice alternative (ça devient lourd de vouloir caser des références au genre musical à chaque épisode ou presque). Ça se lit vite et bien et les dessins de Xermanico assurent le spectacle. ■