7. Harley’s Little Black Book #6 : Harley Quinn et Lobo, l’amour trash en orbite
Quand Jimmy Palmiotti et Amanda Conner décident de faire se croiser Harley Quinn et Lobo, on se doute bien que ça ne va pas être une balade romantique sur fond de violons. Non, dans Harley’s Little Black Book #6, c’est plutôt Mad Max version porno-soft dans l’espace. Les deux déglingués partagent la même passion : les motos, les bastons et les bêtises XXL. Autant dire que leur rencontre ne pouvait finir qu’en chaos… et en petits morceaux d’extraterrestres.
Au fil de cette virée intergalactique, Lobo perd son pantalon (classique), Harley enlève son haut (deux fois, sinon c’est pas drôle), et le duo sème la mort et le sexe dans une orgie cosmique signée Simon Bisley. Les scènes étaient tellement limites que DC Comics a dû coller des petits drapeaux de censure sur les planches, histoire de sauver les apparences. Résultat : un numéro complètement délirant, trash et hilarant, où Harley finit, littéralement, par décrocher son rencard spatial avec le Main Man.
8. Voodoo #1 : strip-tease et extraterrestres
Créée en 1992 par Brandon Choi et Jim Lee dans WildC.A.T.S. #1, Voodoo est l’un de ces personnages tout droit sortis des années 90 : sexy, violente et un peu trop à l’aise avec les combinaisons moulantes. Après Flashpoint, la belle Priscilla Kitaen débarque dans l’univers DC version New 52, moitié humaine, moitié Daemonite, et surtout… strip-teaseuse infiltrée. Oui, on a connu des identités secrètes plus subtiles. Dans le premier numéro de sa série solo (2011), la voilà donc sur scène, et disons qu’il y a largement de quoi attirer l’œil.
Pendant qu’elle danse, deux agents fédéraux la surveillent. L’un d’eux, un brin trop curieux, décide d’aller « enquêter » de plus près. Mauvaise idée. D’abord, il a droit à une prestation privée (professionnelle, mais pas que), puis tente de la convaincre de se rendre. Il aurait mieux fait de rester dans sa voiture : Voodoo reprend sa véritable forme d’alien, massacre le pauvre gars sans une once de remords, et repart tranquillement avec son identité. Une séquence à la fois sensuelle, gore et terriblement Wildstorm.
