Amazing Spider-Man (1963) n°362
Le début de la rédemption pour Venom et Eddie Brock passe par l’arrivée d’un supervilain encore plus pervers : Carnage. Ce dernier est en réalité un rejeton de Venom, qui prend pour hôte Cletus Kasady, un serial killer ancien compagnon de cellule d’Eddie Brock. Évidemment, le mélange tueur en série et symbiote extraterrestre ne peut donner qu’un monstre, et il faudra l’alliance entre Venom et Spider-Man pour repousser ses 1ers d’une longue série d’assauts. Le supervilain Carnage est à l’affiche de Venom 2.
Ghost Rider/Blaze : Spirits Of Vengeance n°6
Les vieux lecteurs français reconnaîtront la couverture de Vengeances, un Récit Complet Marvel publié en 1994 par Semic. Il s’agit en réalité de la couv de Ghost Rider/Blaze : Spirits Of Vengeance n°6. Venom y semble plus menaçant que jamais. Comme il est suspendu au plafond dans l’obscurité, la bave dégouline vers le sol ce qui donne à l’ensemble un aspect étrange et inattendu. Ce serait un xénomorphe de la saga Alien, ce serait pareil… Notez la tête enflammée de Ghost Rider, que Venom tient pendu à une chaîne.
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Venom (2003) n°12
Voici une couverture qui insiste sur le corps déformé de Venom plutôt que sur ces clichés visuels habituels, c’est cool, non ? Sur la couv de l’épisode 12 de la série Venom de 2003, le symbiote ressemble à une créature effrayante et géante. Le symbiote rôde dans les égouts, parmi les cadavres et les restes squelettiques. Sa musculature est totalement hypertrophiée ce qui lui donne un air absurde mais surtout très très menaçant. Ces muscles énormes font aussi partie des stéréotypes graphiques du personnage et ici, ils sont particulièrement bien utilisés.
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Venom (2018) 1
Encore une couverture célèbre puisqu’elle marque le retour d’Eddie Brock sous le costume de Venom. Mais surtout l’arrivée du scénariste Donny Cates pour un run qui replace Venom au cœur de l’univers Marvel et qui a su convaincre les lecteurs. C’est bien simple, toutes les rééditions reprennent ce visuel, très attractif, comme par exemple l’album dédié à Venom dans la collection « Le Printemps des Comics ». Difficile de résister : une gargouille, une pluie battante, un ciel noir transpercé d’éclairs (on s’attendrait presque à voir Quasimodo surgir) et Venom dans une posture à la fois dominatrice et tragique. Plus dramatique, tu meurs. ■
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